le regard assoupi je voguais à travers les espaces indolents lorsque tu me surpris par delà les pudeurs à faire danser ma robe trop légère la possibilité de l’ébauche d’un geste s’infirma d’elle-même en guise d’acquiescement aux félines caresses de tes doigts éoliens se jouant sur ma peau encore osai-je l’esquisse sur mon visage ouvert d’un sourire mutin lorsque je te sentis remonter au gré de mes audaces mhmmm au souffle divin d’un tendre écart du temps que la clôture des portes subitement brisa je rajustais ma robe prenais une sainte pose devant la pupille sévère de la femme banquise qui me faisait face la rame s’ébranla je refermai les yeux rêvant te retrouver dans une station prochaine mon joyeux courant d’air
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20 août 2015 at 12 h 55 min
très très belles images, ‘vy ! j’y suis !
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20 août 2015 at 12 h 57 min
Merci, Gilles.
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20 août 2015 at 13 h 19 min
Comme c’est gracieux… et mutin à la fois.
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20 août 2015 at 14 h 45 min
Merci Francis.
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20 août 2015 at 15 h 25 min
Ah! L’érotisme des calices…
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20 août 2015 at 16 h 20 min
Une source d’inspiration.
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21 août 2015 at 16 h 25 min
espaces indolents… robe trop légère… sourire mutin…
l’impression que de l’air s’insinue entre tes mots…
et que dire de la photo…
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21 août 2015 at 19 h 17 min
qu’elle a subi un petit traitement photoshop…
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21 août 2015 at 19 h 41 min
bien sûr, mais ça ne lui enlève rien… j’aurais dû dire de l’image peut-être… quoi qu’il en soit, ça marche!
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21 août 2015 at 19 h 44 min
J’avais compris Caroline, c’est juste la réponse qui m’est venue avec le sourire.
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