1,2,3 nous irons au bois… Cette comptine me vient à l’esprit, pas tout à fait enfantine. Quand le désir se noue en nous pour libérer les sensations. Ton texte vibre comme une corde tendue, comme un archet sur un violon. Très beau texte.
Merci, Francis. Oui, cette comptine s’est imposée en fin de parcours, d’ailleurs j’ai failli appeler l’article ‘Contine’, comme un petit conte musical…
Merci de le préciser, le texte est d’abord venu, puis le dessin, puis l’un corrigeant l’autre et enfin l’un dans l’autre. Mais maintenant je trouve le graphisme des mots un peu trop rigide.
Et voilà que tes mots et tes mains sont occupés à créer des liens… j’aime
absence présence miroir illusion fougue liesse baiser lèvres caresse frémir soir soupir
que notre langue est belle, comme nos mots sont beaux
merci de t’en servir et de les lier et les délier… en les faisant danser
Il est beau de lier aussi bien un texte et un dessin qui donne en moi l’envie de briser tous mes liens. J’aime aussi beaucoup la forme de cet article, j’y vois quelque chose de très onirique =)
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Retrouvez-moi sur mon nouveau blog :: carnets de 'vy
23 novembre 2015 at 7 h 16 min
relier sans lier, faire lien qui n’entrave pas, s’attacher sans attacher … quelle nécessité de conscience ! Merci bien ‘vy !
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23 novembre 2015 at 7 h 35 min
Merci pour vos mots déliés, Gilles.
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23 novembre 2015 at 9 h 02 min
1,2,3 nous irons au bois… Cette comptine me vient à l’esprit, pas tout à fait enfantine. Quand le désir se noue en nous pour libérer les sensations. Ton texte vibre comme une corde tendue, comme un archet sur un violon. Très beau texte.
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23 novembre 2015 at 9 h 39 min
Merci, Francis. Oui, cette comptine s’est imposée en fin de parcours, d’ailleurs j’ai failli appeler l’article ‘Contine’, comme un petit conte musical…
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23 novembre 2015 at 9 h 44 min
Et j’ai oublié de préciser que ta mise en page, avec ce dessin qui relie les deux paragraphes, apporte beaucoup en ajoutant une touche de délicatesse.
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23 novembre 2015 at 9 h 51 min
Merci de le préciser, le texte est d’abord venu, puis le dessin, puis l’un corrigeant l’autre et enfin l’un dans l’autre. Mais maintenant je trouve le graphisme des mots un peu trop rigide.
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23 novembre 2015 at 9 h 53 min
Non, ça donne un contraste intéressant.
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23 novembre 2015 at 11 h 36 min
L’imagination s’emballe, le dessin lien des mots libres sensuels l’intimité. Superbe.
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23 novembre 2015 at 12 h 37 min
Si l’imagination s’emballe, alors c’est réussi. Merci.
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23 novembre 2015 at 14 h 38 min
Et voilà que tes mots et tes mains sont occupés à créer des liens… j’aime
absence présence miroir illusion fougue liesse baiser lèvres caresse frémir soir soupir
que notre langue est belle, comme nos mots sont beaux
merci de t’en servir et de les lier et les délier… en les faisant danser
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23 novembre 2015 at 16 h 17 min
Subtil encordage de mots & image.
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23 novembre 2015 at 17 h 06 min
10 11 12, le rouge……………de ton dessin blanc…….comme des points à relier……doux, doux, doux
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23 novembre 2015 at 19 h 02 min
Il est beau de lier aussi bien un texte et un dessin qui donne en moi l’envie de briser tous mes liens. J’aime aussi beaucoup la forme de cet article, j’y vois quelque chose de très onirique =)
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23 novembre 2015 at 22 h 21 min
magie des arabesques et finesse des déliés… d’une alcôve harpiste…
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