traversancelpfjour 54 – 190 417 – Retrouvez-moi sur mon nouveau blog : Les poissons rouges ont pris la clé des champs.

jour 53 – 181 016 – une page de plus à la traversance : le sourire du trou noir.

jour 52 – 260 916 – l’idée de construire quelque chose avec le contenu du blog, histoire de corriger les écrits, ajouter des illustrations (sans doute des dessins), mettre de l’ordre, écrire de nouveaux textes. Bon, voici déjà un prototype miniature et imparfait mais qui me sera un guide.

jour 51 – 190 916 – ajout de deux dessins à la « divine comédie » sur dessins.

jour 50 – 260 716 – quatre cartes de plus aujourd’hui. J’ai du mal à suivre le rythme, l’impression d’être dans une sorte de jardin secret dont les fleurs sont nombreuses à s’ouvrir en même temps. Il faut se dépêcher de les cueillir avant qu’elles ne se referment. De là à dire que j’ai du mal à suivre, je m’en garderai, Loretta finirait par devenir cachotière. Nous sommes comme devant un écran parsemé de petits points bcartes4lancs (lampe de rétro-projecteur en phase terminale), chaque point est une carte, au début il n’y en avait qu’un, à présent ils se multiplient comme des petits pains. Attention à l’uppercut (hyperchute) après la floraison. Bien sûr, cette histoire ne s’est pas faite en un jour et Loretta le sait bien. Elle suit son temps à elle, tout comme Cyprien. Et nous, nous verrons bien…

jour 49 – 210 716 – Loretta part quelques jours en expédition pour attraper des papillons, Cyprien est en état de bouderie, Facido s’occupera des ocpMiseaux qui sont encore trop jeunes pour accompagner Loretta. Mth apprend à gérer son image avec les autres clones. VL est un pantin magnifique, vous le découvrirez bientôt.

12 cartes en main, verso/recto, à lire ici (vous constaterez que par temps de canicule, ces quelques cartes peuvent faire office d’éventail).

Jour 48 – 130 716 – on en est à huit cartes.

Jour 47 – 120 716trois cartes postales sur la nouvelle page.

jour 46 – 060 716 – Il y a deux jours je suis allée au Palais de Tokyo voir l’exposition de Michel Houellebecq. Je m’attendais à quelque chose de vivant (d’ailleurs le titre n0716combas0437‘est autre que Rester vivant). Bien qu’une petite voix que je chasse rapidement me susurre : « vraiment tu t’attendais à trouver de la vie ? ». Bon, hé ho, je ne connais pas grand chose de ou sur M.H... . Alors simplement le moins qu’on puisse dire c’est que le vivant de l’écrivain n’a pas trouvé beaucoup d’échos dans mon vivant à moi. A part les toiles de Robert Combas, dont je vous mets quelques photos sur « expos vite vite« . Bon, lui, j’aime beaucoup ce qu’il fait. Pour le reste du Palais de Tokyo, j’ai eu l’impression de vide… comme si le musée était en transition. Quelques expos, beaucoup de vide… c’est les vacances… Puis-je vous rencontrer monsieur Houellebecq que vous m’expliquiez un peu, vous ou un autre, d’ailleurs… tout de même, je me dis que j’ai dû passer à côté de quelque chose… me faudrait approfondir ? Vous z’en faites pas, je vais le faire… vous dit à bientôt… (ce à bientôt c’est à Michel H. qu’il s’adresse, ici, on continue, ‘vydemment)

jour 45 – 040 716 – Le bruit des fleurs… quelques photos encore :

jour 44 – 270 616 – quelques photos prises ce week-end dans le jardin de la maison des bois.

061623tempetepfjour 43 – 240 616 – Avant de partir… franchement, ça ne ressemble pas vraiment à ce que je voulais faire, j’étais partie d’une photo tirée d’une vidéo, The raft, de Bill Viola, vidéaste que j’apprécie beaucoup et dont j’ai eu la chance de voir l’exposition au Grand Palais en 2014. Seulement, représenter l’eau en mouvement… ben j’ai pas vraiment trouvé le truc. Ce matin, en lisant votre commentaire, Henriette, j’ai soudain eu l’impression que c’était plus une (terrible) tempête de « mosquitos invaders »…

L’occasion de vous montrer un aperçu de cette vidéo de Bill Viola (quand on voit ses vidéos en grand format avec le son qu’il faut, ça vous remue dans le corps) :

061621routeFarandolepf

jour 42 – 230 616 – un nouveau dessin, qu’on pourrait appeler « la danse de l’été », histoire d’y croire un peu… d’ailleurs, le dessin date de deux jours et aujourd’hui il fait chaud sur Paris.

jour0616spiderfrog 41 – 200 616 – Bébé Spiderfrog apprenait à « faire le mur » pour rejoindre la verte vallée. Hélas, pas assez de force dans ses petites pattes, il retombait sans cesse au sol. Petites cuisses à muscler !

0616moulinsventMais laissons-là les super grenouilles s’entraîner et voyez plutôt : Nous roulions dans notre carrosse quand j’ai soudain vu dans le lointain arriver le chevalier errant suivi de son fidèle Sancho. L’histoire étant un éternel recommencement, ils montaient à l’assaut des géants. Dans ce coin des hauts pays il y avait à faire, ces cinq là n’étant que les trainards de la légion d’Eole.

jour 40 – 170 616 – l’article sur ma visite à l’exposition à la maison de Balzac a été mis en ligne.

jour 39 – 110 616 – (quelques photos ajoutées sur mon profil facebook, ces dernières heures) Hier soir, le Petit Palais ouvrait ses portes pour une performance de Street Artistes. Artiste Ouvrier et SaneTwo travaillaient la fresque pendant que nous visitions une nouvelle fois l’expo Dans l’atelier, toujours en place sur ce blog (l’animal de pintor que vous pouvez voir sur la deuxième compo en dernière ligne est un chat du peintre autant qu’un chat peintre, de Miquel Barcelo)

jour 38 – 080 616 – je commence une nouvelle page, La traversance – journal de l’autre côté. Explications sur place.

jourceramix2birds6032 36 – 040 616 – non mais là, franchement, j’ai l’impression d’être tombée dans un monde parallèle. Vous me trouvez la même qu’hier, vous ? N’ai-je pas échangé ma place avec… une moi-même approximative ? Je vous explique. Je suis retournée voir l’exposition Céramix il y a deux jours, et lorsque j’ai revu la sculpture Yellow dress with two birds, de Leiko Ikemura, je me suis rappelée d’une question de l’une d’entre vous, et cette question a ricoché sur les quatre murs comme il se devait. « Je cherche le second oiseau et ne le trouve pas ». Alors je l’ai cherché moi aussi, je me suis même glissée comme j’ai pu entre la dame sans tête et le mur, espace étroit, mais qui me fit voir dans l’ombre le deuxième bird. Ah, si vous saviez comme j’étais contente, j’allais vous le ramener cet oiseau, je me suis empressée de prendre la photo et là, ce matin, je recherche votre commentaire, chères vous quatre, commentaire qui aurait dû se trouver sous la photo correspondante et je ne le trouve point. Ni le titreceramix0416-9576, d’ailleurs. Alors comment auriez-vous pu poser cette question ? J’entends des voix ? Je pense avec la voix d’une autre ?  Dites-moi, vous l’auriez posée cette question, si vous aviez su le titre et vu qu’un seul oiseau, non ? Si vous avez une réponse, et même s’il vous faut vous glisser sous un mur séparant nos deux mondes, éclairez-moi… Pour l’heure voilà votre deuxième oiseau pelotonné dans l’ombre.

jour 35 – 030 616 – Puisque facebook n’est pas toujours très conciliant avec les éléments libres, et qu’il me faut bien répondre à la question qui m’a été posée « que deviendra la fille aux cubes ? », ces quelques images soustraites à un embryon de gif sont une réponse possible. Nous y retrouvons quelques bonomes près de la fille qui écrit l’histoire, la chrysalide libérée (vous savez celle-là), une elfide assez insolente et une créature tentaculaire… qui est ce que vous décidez qu’elle est. En fait de devenir, pour le coup je m’interroge, il se pourrait bien que ces dessins représentent l’antichambre de bonomeville et que ce ne soit donc pas du tout ce que la fille aux cubes est devenue mais son passage d’un monde à l’autre, c’est à dire ce qui s’est passé avant qu’elle arrive… un scoop donc. Le premier monde, celui d’où elle vient étant à déterminer, mais en fait, je sais fort bien ce qu’il est (genre ça), ben on n’est pas prêt de s’en sortir…

Jour 34 – 030 616 – mis un article en ligne, hier, Leur histoire… ne m’attendais vraiment pas à recevoir des commentaires si enthousiastes…

nuit 6 – elle a parlé de nous… « bonomes », ce nom qu’elle nous donnait, il faudra lui dire notre vrai nom un jour… quand on aura le temps… mais tout de même nous comparer aux « petites choses », ces choses bestiairevyc’est un peu nos cousines, sans plus… boh, on s’en fiche un peu, faut dire... oui, tu as raison.

jour 34 – 310 516 – le temps avance, quoi qu’il en soit, j’ai forcé l’éclaircie, fait ce que j’ai pu (on reprendra une photo plus tard). Un titre, j’y ai réfléchi. La femme ayant les yeux clos, l’enfant refusant d’entendre les bruits du monde, reste le verbe, j’ai hésité entre ‘suspendu’ à un fil ou ‘à venir’… étant résolument optimiste (oui oui), et bien que les fils de soi (sans fresque310516pf2faute et dans le sens que vous voudrez) puissent s’avérer solides pour peu qu’on creuse un peu, je préfère penser que rien n’a encore été dit ou peut mieux faire (malgré l’usure du livre). Donc, le titre gagnant est : tadammmmmm suspens…. « le verbe à venir ». Z’en pensez quoi ? ah oui, l’image, j’allais oublier l’image…

Je mets ici vos propositions de titres : Francis : « le verbe, c’est devenir » ou « l’avenir du verbe » ; Henriette : « l’éveil du verbe » ou « immoderato cantabile » me plait bien (j’ai cherché un titre en italien et (moderato cantabile me revenait en tête)) ; Goran : « Écouter venir voir le verbe » ; Caroline :  » « l’insoutenable beauté du verbe ».

 

jour 33 – 310 516 – et hop, on commence une nouvelle page, histoire d’aérer un peu. Je ne sais si je pourrai mettre le dessin final en ligne aujourd’hui. Impossible de faire la photo à l’intérieur, je vis en lumière artificielle (because hublots à la place de fenêtres), il me faut donc aller sur le balcon, mais c’est la fête à la grenouille en ce moment. Alors, il faut attendre l’éclaircie … quand c’est en format A4, je peux scanner, mais là… on attend le bon vouloir du temps… mais on a le temps nous aussi…

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suite du journal précédent que vous trouverez archivé ici