Une nuit je me réveille avec une immense envie de faire un cube.

Allons bon, qu’est-ce que c’est encore cette idée saugrenue… j’ai sommeil, moi !

– Non, tu n’as pas sommeil !, trotte le cube derrière mes paupières closes, et le voilà qui tournicote comme s’il existait déjà, dehors, dedans, il s’ouvre pour dévoiler ce qu’il a dans le ventre. Tu veux dire des organes, tout ça ? Non, des secrets d’alcôve, un vestiaire, un préambule, la chambre des Béatrice. On pourrait partir d’un bord du labyrinthe et ouvrir une porte au hasard. Entrez monsieur le hasard, vous êtes ici chez vous, toujours le bienvenu dans mon bazar. Lire la suite