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les oiseaux dans le bocal

ou comment les poissons rouges ont pris la clé des champs

Mois

octobre 2016

Machines à dessiner

L’univers fantastique de François Schuiten et Benoït Peeters, respectivement dessinateur et scénariste des BD Les cités obscures et Revoir Paris, est propice à l’exposition que nous propose le musée des Arts et Métiers. C’est à travers un parcours jonché d’objets sortis d’un autre siècle que le spectateur se prend à voyager hors du temps présent. Lire la suite

FIAC 2016, une visite subjective

2h40 j’y suis restée, c’est que je n’ai pas dû m’ennuyer. Etonnée (mais pourquoi donc ?) de voir autant de monde dès l’ouverture, ce vendredi. J’en rapporte quoi au juste ? Lire la suite

Murakami, Calle, Toguo, une fin de journée particulière

Hier soir j’étais invitée par le Centre Pompidou à une visite guidée de l’exposition de Jean-Luc Moulène (dont je doutais que je serais follement intéressée mais sait-on jamais). Et comme je voulais absolument voir l’exposition Takashi Murakami à la galerie Perrotin et celle consacrée à Gregory Crewdson à la galerie Templon (le tout se tenant presque dans un mouchoir de poche autour du Centre Pompidou), j’avais prévu de faire d’une pierre trois coups.  Mais le hasard (que je l’aime celui-là) avec beaucoup d’humour et de bonté allait un peu changer mon emploi du temps. Lire la suite

Mexique 1900 – 1950, au Grand Palais

Je suis entrée un peu par hasard dans l’exposition et je ne sais plus trop comment je me suis retrouvée avec un audioguide branché sur les oreilles, j’ai suivi le mouvement, dans le fond, je n’y connais rien ou presque, alors pourquoi pas se laisser tenter par cette proposition de voyage dans la création mexicaine de la première moitié du XXème siècle ? Lire la suite

Les sculptures-machines de Gilbert Peyre

Gilbert Peyre, l’électromécanomaniaque qui donne vie aux machines. Pour ce que j’en avais vu sur l’affiche, et lu ici ou là, j’étais très curieuse de voir cette exposition. J’avais déjà remarqué le « J’ai froid » de l’artiste ici même à la Halle Saint Pierre (si je ne me trompe), le bruit des sabots claquant le sol de cet étrange individu au crâne de daim dégarni, revêtu d’une peau de lapin, répétant inlassablement et lugubrement « J’ai froid », m’avait un peu donné froid dans le dos. Lire la suite

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